Fraude sociale : chômeur présumé coupable ou l’algorithme du soupçon à l’Onem
30 décembre 2011
Etude de Corine Barella, journaliste-blogueuse spécialiste des politiques sociales (barella.be)
Imaginez un Royaume où sur le simple soupçon d’avoir commis une infraction, sans vérifications préalables, sans preuves, sans enquête préalable impartiale (à charge et à décharge), sans autre raison que le soupçon de la faute, une institution, à la fois juge et partie (qui a même un intérêt budgétaire direct à infliger la sanction…) peut vous couper les vivres d’abord, deux mois durant, puis faire ensuite semblant d’enquêter, mais cette fois, seulement à charge, pour ensuite, éventuellement, décider de vous rétablir dans vos droits ou de vous sanctionner définitivement…
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