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"Les accidents du travail"

Par Franck Vernier, Ingénieur Conseiller en Prévention, SEPPT Prokimo

AccidentWEBLa loi du 10/04/1971 donne la définition d’un accident de travail. Il s’agit de tout accident qui survient à un travailleur durant et par le fait de l’exécution du contrat de louage de travail, qui produit une lésion et pour lequel l’existence d’un évènement soudain est établie. Trois critères distinguent l’accident de travail de tout autre la soudaineté ce critère est essentiel à la notion d’accident. C’est lui qui permet de distinguer l’accident de la maladie. Deuxième critère, le fait accidentel doit s’être produit pendant le temps de travail, au cours de l’exécution du contrat qui comprend tout lieu et tout moment où le travailleur se trouve en vertu du contrat, sous la tutelle de l’employeur. Troisième critère, il doit y avoir une lésion de quelque sorte que ce soit, physique (plaie, fractures,…) ou mentale. Sont également considéré comme accident de travail, l’accident survenu sur le chemin du travail.

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«La réforme du rail, ou quand la SNCB souffre d’une encéphalite aigüe»

Par Delphine Dumont, Form'Action André Renard

Navetteurs.WEBgifLe rail belge s’est profondément transformé depuis une dizaine d’années pour répondre aux ambitions libérales européennes. La SNCB de Papa n’existe définitivement plus. Dans une précédente analyse publiée en 2012 dans D’autres Repères « La réforme du rail, un bras de fer inextricable ? », nous nous sommes attelés à expliquer les enjeux de la réforme du chemin de fer menée par le ministre des Entreprises publiques de l’époque, Paul Magnette (PS). Depuis, et malgré l’opposition des syndicats, une nouvelle structure a été adoptée et mise en place au 1er janvier 2014. Nous tâcherons dans cette analyse de faire le point sur le rail belge.

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Brésil: la Coupe du Monde 2014, bien plus qu'une histoire de foot...

Etude de Marie Greffe - 6com.be (FAR)

CoupeWEBL’ancien président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva (Parti des travailleurs) s’est battu pendant des années pour obtenir la Coupe du Monde de 2014. En 2007, quand la Fifa a attribué le fameux sésame à son pays, il a versé une larme tellement l’émotion pour le chef d’Etat était grande. Il explique ne pas avoir été motivé par des intérêts politiques ou économiques, mais par ce que le football représentait pour le peuple brésilien. A la base, il a été soutenu par le peuple dans sa conviction que ce genre de manifestation ne devait pas être réservée seulement aux « pays riches », car le football est le seul sport authentiquement universel, pratiqué par tout le monde quelles que soient la classe sociale, les origines ethniques, les cultures, les religions et ce, dans tous les pays du monde. Le Brésil est le pays du football, de la musique et du carnaval. Le football est d’ailleurs considéré bien souvent par les Brésiliens plus comme une passion nationale que comme un sport. Et, il a permis, selon Lula, pendant des années, aux afro-américains de lutter contre la discrimination raciale. Grâce au football, le Brésil a réussi à sortir de « son esprit de servilité volontaire » dans lequel il était plongé suite à son héritage de de colonie portugaise (1500-1822) et à appliquer ce nouvel esprit conquérant à d’autres défis tels que la réduction de la pauvreté, le redressement de son économie, l’amélioration de ses infrastructures, etc.

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