Face à l’infaux, désintoxiquons nos cerveaux
16 décembre 2014
Par Delphine Dumont – Form’action André Renard
Les réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter permettent aux internautes d’accéder très rapidement à de l’information. Mais si on remarque que s’ils sont vite informés, ces lecteurs sont également très vite trompés. Dans une précédente analyse publiée dans D’Autres Repères et intitulée « Facebook, I like it, or not » , nous avons démontré que « Tout le monde peut devenir reporter derrière son clavier. A la différence des médias classiques, nos lectures de l’information sur Facebook sont guidées par nos relations et plus par la ligne éditorialiste du journal. Des informations à prendre donc avec des pincettes, puisqu’il n’y a aucune vérification sur leur véracité. » Avec les réseaux sociaux, les informations se likent et se partagent en un clic sans vérifier les sources. Comme si l’internaute se fichait de leur véracité. Comme si l’important était d’avoir l’info et de le faire savoir. Comme s’il fallait être sur la balle constamment, ne pas rater la dernière nouvelle, surtout si celle-ci fait le buzz.
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