Le dossier de santé: un élément incontournable en matière de traçabilité de l’exposition des travailleurs en entreprise
Sale temps pour les crédits-temps

ONU/l’Arabie saoudite : la Belgique complice par omission

Par Marie Greffe, 6com.be (Form’action André Renard )

OnuasWEBFin avril, l’Arabie saoudite a obtenu le feu vert, pour les quatre ans à venir (2018-2022), par vote secret de 45 des 57 Etats membres du Conseil économique et social des Nations Unies, d’intégrer la Commission des droits des femmes de l’ONU. La nomination de Riyad au sein de cet organe censé s’investir dans la « promotion de l’égalité hommes-femmes et l’autonomisation des femmes » a de quoi surprendre. En effet, le régime salafiste en application dans le pays n’est pas ce que l’on peut appeler un exemple de démocratie appliquée envers la condition féminine. L’Arabie saoudite est en effet connue pour sa pratique d’un islam rigoriste, régi par la notion du « wali al-amr », soit un règlement qui fait en sorte que les femmes doivent se soumettre à la tutelle d’un homme.

Cet article vous intéresse? Lire la suite au format PDF...