L’économie belge crée de plus en plus de « jobs, jobs, jobs » mais aussi de plus en plus de « poors, poors, poors ». La réalité derrière les chiffres du chômage et de la pauvreté.
La pauvreté estudiantine en Fédération Wallonie-Bruxelles : une menace pour nos jeunes

Citéa, une alternative chaudement recommandée à la froid(e)ur des agences d’outplacement

Par Delphine Dumont, Form'action André Renard

CiteaoutplacementWEBDans un précédent article de D’autres Repères, nous avons tenté de faire la lumière sur la législation concernant l’outplacement. Nous avons vu que le travailleur licencié et, a fortiori la délégation syndicale, devaient être attentif à un certain nombre de choses pour éviter de se retrouver sur le carreau sans allocation de chômage. En même temps que les lois se précisaient sur le sujet, un grand nombre d’agences d’outplacement ont vu le jour pour - soi-disant - venir en aide à ces travailleurs. Depuis, des preux chevaliers des temps modernes, costumes-cravates, petite attaché-case à la main gauche, IPhone à la main droite, à coup d’arguments graphiques sur Power Point, tentent de convaincre les malheureux licenciés de les suivre parce qu’ils “seront les seuls à pouvoir les sauver”. Or, on s’est rendu compte que le sort de ces travailleurs sans emploi leur importait peu. Derrières ces agences se cachent - ou pas - des entreprises spécialisées dans l’interim. Soit des boîtes où le social n’est qu’un simulacre, un apparat pour cacher leur véritable objectif: faire du fric. 

Cet article vous intéresse? Lire la suite au format PDF...

Commentaires

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.