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Les réseaux sociaux en période de confinement : stop ou encore ?

Par Delphine Dumont, Form'action André Renard

Le 17 mars 2020, la Première ministre Sophie Wilmès (MR) annonce le confinement total en Belgique. La décision émane du CNS (Conseil national de sécurité). Les Belges sont priés de rester chez eux pour éviter la diffusion du coronavirus. Il leur est demandé de limiter les déplacements à l'essentiel (travail, santé, nourriture, banque, pharmacie, poste, essence, aide aux gens dans le besoin) et ce jusqu’au 5 avril (au minimum). Une première en Belgique. Les contacts physiques en dehors de ceux de la famille proche sont désormais interdits. Il faut maintenir une distance de 1m50 avec les autres personnes. Depuis le 16 mars, les enfants ne se rendent plus à l’école et le télétravail est recommandé. Pour certains, le quotidien se résume à concilier travail, devoirs scolaires et tâches ménagères. Pour d’autres, c’est la solitude qui rythme les journées qui n’en finissent plus. Mais l’homme reste un animal social, il a besoin de se mettre en relation avec d’autres. Il a donc fallu ruser pour déjouer le sort et continuer à vivre (presque) comme avant. Et des parades, il en a trouvé : En soutien au personnel soignant, tous les jours à 20h, des flash mobs d’un autre genre sont organisés. Chacun a sa manière de se manifester : applaudissement depuis le balcon, klaxon dans la rue, sirènes tonitruantes des ambulances, etc. Un ralliement par le bruit. Pour égayer (un peu) les journées des personnes âgées en maison de retraite, des enfants (re)découvrent les joies du courrier postal en leur envoyant des dessins et des lettres. En famille, on ressort les vieux jeux de société, etc.

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