La prévention des cancers professionnels : Le rôle du Conseiller en prévention
Récompenser les travailleurs en fin d'année : oui mais comment ?

La Belgique est dans le collimateur de la commission européenne et des agences de notation financière en raison de ses finances publiques très dégradées. Eléments d’explication.

Etude de Stéphane Balthazar - Form'action André Renard

L’année 2024 qui arrive à son terme a été celle de toutes les élections en Belgique. D’abord les élections sociales, organisées au mois de mai. Ensuite, les élections fédérales, régionales, et européennes qui se sont tenues le 9 juin. Enfin, le scrutin provincial et communal du 13 octobre. Autant de rendez-vous électoraux qui ont modifié significativement le paysage politique dans le pays, au regard des législatures précédentes.

Comme souvent, c’est au niveau local (communes, villes, et provinces) que les nouvelles majorités ont été le plus rapidement constituées. Et contre toute attente, des accords de majorité ont été scellés avant l’automne tant en Flandre (par les partis N-VA, Vooruit, et CD&V) qu’en Wallonie où le MR et Les Engagés se sont dit « oui » le 11 juin dernier, en principe pour les cinq prochaines années.

Par contre, à ce jour, cent quatre-vingts jours après les élections, aucun accord de majorité n’a pu être conclu en région de Bruxelles-Capitale. Ni au Fédéral où les négociations se poursuivent entre la N-VA du formateur Bart De Wever (dont la mission vient d’être prolongée par le Palais royal), le CD&V, les socialistes flamands de Vooruit, le MR, et Les Engagés. Depuis le 13 juin dernier, faute de gouvernement de plein exercice, c’est la coalition Vivaldi emmenée par le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) et sortie perdante des élections de juin 2024, qui est contrainte de jouer les prolongations en assurant la gestion des affaires courantes du pays.

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